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    Publiée le 4 juin 2024

    Les collaborateurs PRÉVOIR au micro ! Jean-Philippe Bruna a répondu à nos questions pour revenir sur son évolution depuis son intégration dans l’entreprise en 2009. Conseiller commercial en clientèle particulière puis professionnelle au sein du Réseau commercial, Jean-Philippe a ensuite donné une nouvelle orientation à sa carrière. Devenu téléconseiller au siège, il a rapidement pris le poste d’expert métier, puis de Responsable de pôle au service Gestion clients, avant d’être nommé Responsable du Pôle indemnisations. Interview. 

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    Vous êtes Responsable du Pôle indemnisations chez PRÉVOIR, en quoi consiste votre poste ?

    Le Pôle indemnisations s’attache à la gestion et au traitement de certains sinistres – événements couverts par des garanties d’assurance : arrêt de travail, hospitalisation et dépendance. Les clients principalement concernés sont les travailleurs non-salariés, sujets aux arrêts de travail, et les seniors en situation de dépendance. L’indemnisation est traitée en collaboration avec des médecins conseil.

    En tant que Responsable de ce pôle, mes activités quotidiennes se concentrent autour du pilotage de mon équipe de sept personnes – composée d’un expert métier, d’un gestionnaire confirmé, et de cinq gestionnaires. Je prépare donc consciencieusement l’activité du jour pour l’équipe. Je m’investis également dans le management de proximité en suivant les collaborateurs avec attention, notamment au travers d’entretiens mensuels.

    « Les assurés ne sont pas des références client ! »

    J’accorde toute mon attention à l’amélioration continue et au développement du pôle, que ce soit en termes d’organisation, d’outils de travail, de délais ou de communication avec le client. Il est très important pour moi de porter une orientation client, humaine, dans mon service et nos méthodes de travail. Les assurés ne sont pas des « références client », nous prenons beaucoup l’humain en considération. Cela vient probablement de mon expérience de conseiller commercial : je fais de mon parcours atypique une force.

    Devenir conseiller en assurance, c’était une évidence ?

    Initialement j’avais une agence automobile qu’il m’a fallu fermer en raison du contexte du marché. J’ai alors, en mars 2009, intégré PRÉVOIR comme conseiller commercial en clientèle particulière. Pourquoi ? On a bien dit qu’on disait toute la vérité ? Cela s’est fait au gré des offres d’emploi. Avec le recul, je peux affirmer que je suis très bien tombé.

    « J’ai été parfaitement formé et accompagné »

    Lors de mon intégration dans l’entreprise, j’ai été parfaitement formé et accompagné. J’avais une expérience dans le domaine du commercial, mais sans lien avec l’assurance. J’ai donc suivi six semaines de formation alternant théorie et pratique en clientèle. Ensuite, je me suis lancé pleinement dans l’activité, et cela a bien marché. Très rapidement, je suis devenu conseiller pour la clientèle professionnelle parce que je m’y sentais plus à l’aise. L’entreprise a été à mon écoute. À cette époque, je circulais dans toute la région Nord pour rencontrer des prospects. Il pouvait y avoir une centaine de kilomètres entre mon bureau de rattachement et le lieu de certains rendez-vous. J’ai choisi de fonctionner comme ça mais la majorité des conseillers PRÉVOIR travaillent en local.

    Conseiller en Picardie, comment avez-vous intégré le siège parisien ?

    « Allez ! on y va, on recommence à zéro ! » C’est ce que je me suis dit en 2017, lorsque l’entreprise m’a permis de donner une nouvelle direction à ma carrière.

    « PRÉVOIR m’a soutenu et gardé une place pendant cinq ans »

    En effet, je suis tombé malade fin 2011, avec un arrêt d’activité pendant cinq ans. Il est important pour moi de le souligner car l’entreprise ne m’a pas licencié pendant cette longue période.
    Pour l’histoire, quand, en mai 2017, j’ai effectué ma visite médicale de reprise, les médecins étaient effarés d’apprendre que PRÉVOIR m’avait soutenu et gardé une place pendant cinq ans. D’après-eux, en Picardie, les personnes dans ma situation étaient remerciées au bout d’un an. PRÉVOIR m’a donné cette grande chance et m’a fait confiance lorsque j’ai de nouveau été prêt à travailler.

    Cependant, en raison de mon état de santé, je ne pouvais plus exercer le métier de commercial. L’entreprise m’a proposé un poste de téléconseiller au service Relation Clients, au siège à Paris. Finalement c’était assez facile pour moi : je connaissais les contrats et le métier de la relation clients.

    Vous vous êtes ensuite orienté vers la Gestion client, comment avez-vous appris ce nouveau métier ?

    En 2018 je suis devenu expert métier dans le service Gestion clients, au siège, après avoir répondu à une offre de mobilité interne. Encore un nouveau métier à apprendre ! PRÉVOIR m’a fait bénéficier d’une formation de gestionnaire, notamment au niveau des outils et des process. J’ai aussi participé à de nombreux modules de formation et d’information. Enfin, il ne faut pas oublier mon auto-formation, surtout pour pallier les difficultés rencontrées au fur et à mesure. Je me suis senti vraiment expert métier, et reconnu en tant que tel, en un peu moins d’un an. Cependant, j’ai souhaité poursuivre mon évolution. Ma responsable a pris sa retraite en octobre 2020, et moi son poste en tant que Responsable de pôle à la gestion clients ! Enfin, en janvier 2023 j’ai réalisé une dernière évolution vers le poste que j’occupe actuellement : Responsable du Pôle indemnisations.

    En parallèle de ce parcours, vous êtes redevenu étudiant ?

    Tout à fait ! J’ai suivi l’Université Prévoir en 2020-2021 avec le module diplômant « Gestion des entreprises digitales », pour m’ouvrir sur d’autres problématiques. C’est un monde très intéressant : je me suis éclaté. En plus, je suis très fier d’avoir été major de promotion avec ma binôme.

    Quels sentiments vous inspire votre parcours ?

    Je suis fier et reconnaissant. Je pense que des opportunités rares, et notamment de changer de service, m’ont été offertes par PRÉVOIR. Je ne suis pas le seul exemple, beaucoup de mes collègues ont fait la même chose.

    « Je souhaite rendre la chance qui m’a été donnée »

    PRÉVOIR donne sa chance à tout le monde, sans a priori. Aujourd’hui, désireux de rendre la pareille, il est important pour moi d’en accorder une aux personnes qui le méritent lorsque j’effectue des recrutements pour mon équipe.

    Pour finir, recommanderiez-vous PRÉVOIR en tant qu’employeur à vos proches ?

    Oui. Sans hésitation. C’est une entreprise qu’on peut recommander. J’ai d’ailleurs incité mon meilleur ami, qui était alors pizzaïolo, à se reconvertir chez PRÉVOIR.